MY WAY...MY H!$T0RY...MY L!F3...
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Créé ton blogposté le 15-05-2009 à 18:28:41
pot_M sur l'eau_mot-faut-bie de mou-ahhhhhh
J'ai rêvé que je pouvais te prendre la main
Sans être observé comme une bête de scène,
Sans être poursuivi jusqu'à perdre haleine...
j'ai rêvé d'un monde, mais il est bien loin.
J'ai rêvé que je pouvais sans crainte te poser de tendres baisers,
Comme tous ces gens qui peuvent vivre leur amour librement...
Sans que cette scène devienne un tourment et un bain de sang.
J'ai rêvé...mais nous ne pouvons pas follement nous aimer.
J'ai rêvé que nous puissions vivre sans préjugés,
Sans ces insultes salissant notre image et notre âme,
Sans ces coups de rage faisant verser tant de larmes.
j'ai rêvé...mais tu étais déjà tombé,
Accabler par la honte de ne pouvoir aimer
Dans ce monde si normalisé
Que l'on voulait soit-disant défier.
J'ai rêvé que le mot aimer n'avais de normalité...
Que seul les sentiments comptaient
Au lieu de cela, ils nous haïssaient
Au point de vouloir nous massacrer...
J'ai rêvé naïvement d'un monde,
Mais je sais qu'il ne pourra pas exister,
Je serrai sans doute dans ma tombe
Quand ils diront : "il voulait simplement aimer"
Sans être observé comme une bête de scène,
Sans être poursuivi jusqu'à perdre haleine...
j'ai rêvé d'un monde, mais il est bien loin.
J'ai rêvé que je pouvais sans crainte te poser de tendres baisers,
Comme tous ces gens qui peuvent vivre leur amour librement...
Sans que cette scène devienne un tourment et un bain de sang.
J'ai rêvé...mais nous ne pouvons pas follement nous aimer.
J'ai rêvé que nous puissions vivre sans préjugés,
Sans ces insultes salissant notre image et notre âme,
Sans ces coups de rage faisant verser tant de larmes.
j'ai rêvé...mais tu étais déjà tombé,
Accabler par la honte de ne pouvoir aimer
Dans ce monde si normalisé
Que l'on voulait soit-disant défier.
J'ai rêvé que le mot aimer n'avais de normalité...
Que seul les sentiments comptaient
Au lieu de cela, ils nous haïssaient
Au point de vouloir nous massacrer...
J'ai rêvé naïvement d'un monde,
Mais je sais qu'il ne pourra pas exister,
Je serrai sans doute dans ma tombe
Quand ils diront : "il voulait simplement aimer"
posté le 15-05-2009 à 18:30:25
pour moi l'amitié c'est :
[...]confiance[...]
[...]délires[...]
[...]soutiens[...]
[...]partage[...]
[...]tolérance[...]
[...]un sentiment fort [...]
[...]délires[...]
[...]soutiens[...]
[...]partage[...]
[...]tolérance[...]
[...]un sentiment fort [...]
enfin voila, et tout ça je l'ai trouvé avec vous, sans vous je ne serrai pas cette âme si joyeuse que je suis aujourd'hui, si heureuse de savoir que le lendemain on se retrouvera...nous n'êtes pas juste des copains avec qui ont délire mais vous êtes une partie de ma vie, de mon oxygène...sans votre présence j'aurai bien fait des bêtises l'année dernière....merci pour tout....je le dis haut et fort...je vous aimes !!!!
posté le 15-05-2009 à 18:31:12
un chtiiii po-M de mou_ahhhhh________LA VI3
Cette clarté si sombre apaise tous les maux
Malgré ces gouttes d'eau salées
Que rien ne peut empêcher de couler.
Tu pleurs l'être disparu, il va te manquer.
Cependant, tu ne peux ignorer que nous sommes tous destinés
A se rendre un jour dans ce monde si mystique.
Dans cet havre de paix si fantastique
Le rejoindras-tu un jour ?
Lors de la macabre nouvelle, nous emporte alors le Fado,
Ce chant pour cet aimé
Ce chant pour ce départ prématuré.
La reverras-tu un jour ?
Ses mains posées sur ce corps froid
Te réchauffais autrefois.
Ses lèvres rigides et bleutées
Te posaient des baisers dans le passé
Et articulaient ces mots pour t'apaiser.
Son corps dansait pour toi
Mais il mourrait sans que tu ne le vois
Il mourrait devant toi.
Tu n'as put rien faire pour éviter cette fatalité,
Tu croyais en cette vie meilleur...
Mais tu savais bien qu'elle était ailleurs
Éloigné de ce cœur brisé en pleur.
Seul, délaissé, seul en train d'agoniser
Dans ce monde sans humanité
Tu as subit ce qui était écrit,
Ta destiné, ta vie.
Malgré ces gouttes d'eau salées
Que rien ne peut empêcher de couler.
Tu pleurs l'être disparu, il va te manquer.
Cependant, tu ne peux ignorer que nous sommes tous destinés
A se rendre un jour dans ce monde si mystique.
Dans cet havre de paix si fantastique
Le rejoindras-tu un jour ?
Lors de la macabre nouvelle, nous emporte alors le Fado,
Ce chant pour cet aimé
Ce chant pour ce départ prématuré.
La reverras-tu un jour ?
Ses mains posées sur ce corps froid
Te réchauffais autrefois.
Ses lèvres rigides et bleutées
Te posaient des baisers dans le passé
Et articulaient ces mots pour t'apaiser.
Son corps dansait pour toi
Mais il mourrait sans que tu ne le vois
Il mourrait devant toi.
Tu n'as put rien faire pour éviter cette fatalité,
Tu croyais en cette vie meilleur...
Mais tu savais bien qu'elle était ailleurs
Éloigné de ce cœur brisé en pleur.
Seul, délaissé, seul en train d'agoniser
Dans ce monde sans humanité
Tu as subit ce qui était écrit,
Ta destiné, ta vie.
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